Je ne connaissais pas cette version de Clandestino. Merci Amapola! J’adore! 4 pays que nous avons traversés ces derniers mois, d’autres que nous avons visités auparavant…
Je ne connaissais pas cette version de Clandestino. Merci Amapola! J’adore! 4 pays que nous avons traversés ces derniers mois, d’autres que nous avons visités auparavant…
Pour le dernier jour de 2018 et notre dernier jour sur l’île, nous pensions faire un bon repas au restaurant le midi. Le soir, ce n’était pas possible car nous devions prendre l’avion pour Papeete. Malheureusement, tous les restaurants dignes de ce nom avaient fermé leur porte le midi pour préparer le réveillon. Nous avons donc dû nous rabattre sur une petite gargote où ça sentait fort le graillon. Ils n’avaient pratiquement rien dans ce boui-boui. La moitié des choses inscrites à la carte n’étaient pas disponibles. Ils n’avaient même pas d’eau! Nous avons pris des jus d’ananas frais, excellents au demeurant.
Après nous être restaurés, nous nous sommes promenés sur la promenade du front de mer, le port, nous avons visité la petite église (enfin de l’exterieur car elle était fermée), et puis nous sommes allés dire un dernier au revoir aux moais proches d’Hanga Roa et aux moais de Tongariki.
Il était convenu qu’à 19h30, la propriétaire de la maison que nous avions louée, nous accompagne à l’aéroport. Au moment de partir, elle nous fit cadeau de colliers avec des moais en pendentif, pour que nous nous « souvenions » de notre séjour. Et nous avons fini 2018, dans l’aéroport attendant tranquillement notre avion. Le temps est finalement passé très vite…
Promenade sur le front de mer
Les 2 moais qui sont sur la promenade d’Hanga Roa et que nous n’avions pas vus avant ce 31 décembre 2018
Curieuse église avec des représentations de l’homme-oiseau et des symboles maçonniques
Lorsque Jakob Roggeveen découvrit l’île en 1722, le culte des ancêtres correspondant aux moais avait été abandonné et remplacé par le culte du dieu Make-Make. Un seul moai continuait d’être vénéré : celui qui a été emmené à Londres par les britanniques, Hoa Hakananai’a (l’« ami dérobé »). Le village d’Orongo est un centre cérémoniel, situé à côté du volcan Rano Kau, qui était utilisé une fois par an pour la compétition de l’homme-oiseau (Tangata Manu). Une fois par an, les chefs de tribus ou leurs champions participaient à cette compétition pour déterminer quel serait le nouveau chef de l’île pour un an.
Les compétiteurs devaient descendre la falaise, plonger dans l’eau et nager jusqu’à la petite île voisine, Motu Nui, située à 1 km. Ensuite, ils attendaient plusieurs semaines que l’oiseau migrateur, la sterne, ponde un oeuf. Le premier revenant avec un oeuf intact était désigné vainqueur. Le dernier rituel eut lieu en 1862, l’année où les péruviens kidnappèrent la majeure partie des habitants de l’île pour en faire des esclaves.
Motu Nui
Le village d’Oronge, constitué de maisons de pierre très basses, pour résister aux vents extrêmement violents soufflant à la pointe de l’île
Pétroglyphes à l’entrée du site