Pacific Grove, Californie

Avant de rejoindre Los Angeles, nous avons fait une étape de deux nuits à Pacific Grove, qui se trouve à la pointe sud-ouest de la baie de Monterey. La petite ville paisible, où vécut Steinbeck, fait face à l’océan Pacifique. Le climat est comparable à celui de San Franscisco. La côte est battue par un vent venu de l’Océan.

Cette petite ville bourgeoise contraste, par son calme, avec le tumulte de San Francisco.

Le premier soir, nous sommes allés nous promener à la pointe, au moment où le soleil déclinait. Ce lieu, baigné de la lumière du soleil couchant, était un océan de verdure face à la mer : d’un côté, la pelouse verte et les arbres majestueux d’un cimetière ; de l’autre la pelouse impeccable et les greens verdoyant d’un terrain de golf sans clôture. Etrangement, la limite entre cimetière et terrain de golf était imperceptible. Quelques joueurs de golf traversèrent la rue pour passer d’un trou au suivant. Une harde de biches, qui se promenaient dans les rues et sur la pelouse du golf, fit de même, dans l’autre sens. Manque de chance, je n’avais que le grand angle avec moi… J’ai réussi à m’approcher du goéland mais pas suffisamment des biches. Quant aux golfeurs, j’avoue les avoir négligés!

 

1 commentaire

  1. C’est en fin de journée, lorsque la lumière décline que l’on apprécie le mieux la beauté des paysages.
    Très belles photos.
    Bises

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